Deuil a faire...
j'ai longuement hésité a écrire ceci... mais je pense que cela m'aidera a faire mon deuil... car il parait de plus en plus évident qu'il faudra que je le fasse. le passé est ce qu'il est et rien de ce que je pourrais dire ou faire ne changera la situation.
lorsqu'on s'est connu, je traversais une passe difficile, tu m'as beaucoup aider à la traverser par ta gentillesse, tes conseils et ta sympathie... maintenant encore, je suis dans une passe difficile, mais tu ne m'aidera plus... on a tout de suite bien accroché et on aura eu une belle amitié... que je n'aurais pas su préserver...
mon impatience, ma maladresse, mon manque de confiance en moi et en l'autre sont les pierres fondatrices de l'échec de notre amitié.
nulle doute qu'on se croisera encore lors d'activité, mais je renonce... renonce a essayer de te parler, a essayer d'arranger les choses que j'ai gâché.
durant les quelques mois de notre amitié, tu as vraiment illuminé ma vie et tu n'as pas idée a quel point je te suis reconnaissant pour cela. et je n'aurais pas la chance de te remercier non plus.


génération kleenex sans doute, mais si on est là c'est aussi parce qu'il y a 60-70 ans les gens/ couples étouffaient dans le manque de liberté, les vies tracées, etc...l'apologie de la liberté est arrivée, avec des dégâts collatéraux. Non ? croire qu'on est tjrs libre ( de tout, de faire ce qu'on veut, etc..) et trjs plus libre conduit selon moi nécessairement à une certaine détérioration des relations humaines, car si on pousse la liberté jusq'au bout, ça veut dire qu'on est libre aussi de pas persévérer si on s'ennuie, si on a d'autres sujets de distraction, ...mais peut-être était-ce ça que tu voulais dire aussi. j'ai une citation qui me revient souvent : " ce n'est pas vraiment de liberté dont l'homme a besoin, mais d'être enchaîné par ce qu'il aime".